Celui qui a été seul pendant longtemps sait à quel point les animaux de compagnie peuvent supporter leur propriétaire dans l'amour inconditionnel. Et parfois, tout ce que vous avez à faire est d'aimer sans réserve.
La position idéale
Un photographe animaux aimable prend rarement des photos et regarde le sujet. En d'autres termes, la photographie animalière ou photographie animaux à n'importe quelle hauteur devrait être la première chose à arrêter ! Les appareils photo reflex numériques doivent toujours être à la même hauteur que le sujet ou, dans certains cas, même plus bas. Avec un dictionnaire illustratif, on dirait qu'il faut éviter la vue « top-down ». Ceci est à exiger pour trois raisons : Lors d’une prise de photo animalière, un animal pris dans un plongeon, quel qu'il soit, parait qu'il est en panne. Il insiste sur la domination de l'homme sur les animaux. Si vous souhaitez faire prendre conscience de la beauté de la nature et de votre environnement, c’est très bon. Mais faites attention, veillez à ce que vous ne présentiez pas le sujet comme étant vraiment un être dominé.
En revanche, les sujets photographiés en altitude permettent au spectateur de trouver plus facilement la vue (de comprendre le spectateur). Dans la première phrase de l'article, on a parlé d'attention. Cette astuce est essentielle pour que les gens entrent en contact avec l'animal, son image. Enfin, le fait de s'accroupir (ou se plier en deux, s'allonger, s'agenouiller…peu importe !) aggrave la distance entre le sujet et l'arrière-plan. Cela permet de trouver très facilement le fond de la nébuleuse recherchée pour marquer l'animal. C’est facile à acquérir.
Imaginez votre chat à vos pieds alors qu'il est debout. C’est l’arrière-plan ! Cela ressemblera presque à une tête de chat. Mettez-vous maintenant en position allongée pendant l’opération. Le contexte maintenant, c’est un arbuste planté à plusieurs mètres Il y aura beaucoup de brouillard pendant que le chat clignote ! Le contraste entre la netteté et le flou est amélioré en élargissant l'ouverture. Pour avoir plus de renseignements, prière de s'informer auprès de photosdanimaux.org.
L’ augmentation de la vitesse de d’obturation
Le photographe animaux veut savoir utiliser les focales longues, oui très longues. A l’usage habituel, on l’appelle les supers téléobjectifs. Les reflex sont fréquemment équipés de 400, 500 voire 600 mm. Si vous n'êtes pas vraiment proche de l'animal, demandez au moins "de visu" au photographe. C'est pourquoi il utilise ces hots pots. Mais cette expansion a un coût. Oui, le 500 mm et les personnes ayant l’intérêt commun ont la fâcheuse habitude d'intensifier chaque mouvement du photographe. Un tout petit mouvement secouera le viseur. Vous avez, à vrai dire, déjà utilisé des jumelles. Vous avez déjà remarqué à quel point il est difficile de créer des photos d’animaux stables.
L’'image "toute tremblant’’ apparaîtra toujours, à moins d'ajouter un support (un mur par exemple). Cela est dû à la haute altitude et vous ne pouvez rien y faire. Vous obtenez la même chose lorsque vous tirez à 400 mm. Les effets indésirables et l'amélioration des couleurs donnent des images vives. Doux, quoi. C'est parce que la vitesse d'ouverture n'est pas assez rapide pour neutraliser ces micro-tremblements.
Le rôle des yeux dans cette opération
Vous avez entendu dire que vous devez toujours vous concentrer sur vos yeux. Animaux ou personnes, peu importe ! Lorsque les yeux sont indistincts, il est difficile pour le spectateur de faire la mise au point sur le sujet. Les choses peuvent être floues. Mais pas les yeux. Outre l'effet artistique recherché, mais aussi l'attraction de l'attention. C'est la raison pour laquelle, on dit que la photo d’animaux est ratée lorsque le sujet n'est pas clairement visible. Et plus l'animal est précieux, plus il est proche ! Dans les réglages d'image où le sujet occupe peu d'espace dans l'image, la réalisation se fait sur la tête. Un portrait est sans équivoque : l'accent sera mis sur les yeux, pas ailleurs. En mode semi-automatique, vous pouvez et décidez où vous parlez. Vous êtes le spécialiste de l’utilisation de la collimation. Par exemple, il suffit simplement de tirer sur le collimateur central et s'est focalisé sur les yeux tout en fixant son regard sur la cible. C'est si simple.